Ledocument : "« Un roi sans divertissement est un homme plein de misères. » Blaise Pascal, Pensées, 142. Commentez cette citation. " compte 762 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous l’un de vos travaux scolaires grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques ou achetez-le pour la somme symbolique d Unroi sans divertissement est un homme plein de misères Signalons l'édition en format de poche de "Le roi vient quand il veut" de Pierre Michon. Cet ouvrage, qui Oncomprend et on n’aime ce livre que lorsqu’on lit la dernière phrase, en référence aux Pensées de Pascal et qui donne au livre son titre : un roi sans divertissement est un homme plein Un roi sans divertissement est un homme plein de misères. » (Pascal, Pensées) Sur le même sujet Article. 1 min. La citation inversée Adrien Barton 30 mai 2013. Trouver la citation Unhomme sans divertissement est un roi plein de misères PAR QUENTIN DALLORME LE 8 MAI 2020 Le Comptoir « Les Lumières et l’illuminisme. Le jour et la Lon verra qu'un roi sans divertissement est un homme plein de misères. - Citation sur Aide personnalisée pour tous vos devoirs de philosophie, réponse à votre dissertation de philo en 1h chrono. Nos professeurs traitent tous les sujets, de tout niveaux, terminale, fac, classe prépa. yzddRJ. à partir des Pensées de Pascal Un Roi sans divertissement est un homme plein de misères. ​Un misérable qu'on divertit est un Roi sur la Terre Un Roi aux cent enchantements est un homme plein de mystères Un Roi sans reine est un homme plein de manières Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. La vérité n'est pas en deçà des Pyrénées ni l'erreur au-delà. C'est aussi être grand, que de connaître qu'on est misérable. C'est au moment où on se croit le plus admirable que l'on ne grandit plus Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point Le cœur a ses saisons que les saisons n'ignorent pas. L'esprit a ses raisons que le coeur dédaigne Le cœur a ses secrets que l'inconscient ne peut trouver Le moi est haïssable. ​le toi est admirable la loi est haïssable La loi est insaissable Le roi est incassable Le nous est adorable Le moi est insatiable Le nous est préférable L'homme n'est ni ange, ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête. L'homme n'est ni animal ni plante et le malheur veut que qui fait l'animal se plante L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant L'homme n'est qu'un fardeau le plus faible de la nature mais c'est un fardeau pesant. A mesure qu’on a plus d’esprit, on trouve qu’il y a plus d’hommes originaux. A mesure qu'on a moins d'esprit, on trouve que tous les hommes se ressemblent. Catégories Méthodes Introduction Les grandes expositions attirent un public nombreux qui n’hésite pas à patienter parfois pendant des heures avant de pouvoir entrer. Dans l’imaginaire collectif l’art reste attaché à la figure du génie, de l’inventeur solitaire qui réalise des découvertes essentielles. Il est donc étonnant d’envisager que l’art ne puisse être qu’un divertissement. Ce terme a ici une signification dépréciative. On ne s’étonnera pas qu’il soit employé pour qualifier des activités ludiques ou sans prétention mais comment peut-on l’appliquer à l’art ? Celui-ci n’est-il pas l’expression des valeurs les plus hautes d’une civilisation ? Le soin mis à entretenir les œuvres incite à le penser. Serait-ce dû à une illusion ? 1. Le plaisir du divertissement A. L’agrément Nous parlons couramment d’artistes de variétés dont le métier est de distraire un public souvent contrarié par les difficultés du quotidien. Le plaisir est l’effet produit par la qualité d’un divertissement proposé dans le but d’échapper momentanément à une réalité désagréable ou morose. Il est indéniable que cette signification concerne la pratique artistique. Il semble même que des génies rencontrent sur ce point le jugement du grand nombre. Matisse a déclaré que ses tableaux devaient délasser l’esprit surmené de l’homme moderne. Ceci paraît corroborer l’avis de l’opinion commune quand elle soutient que le but d’un film ou d’un spectacle est de lui faire oublier sa vie de tous les jours. Ce phénomène n’est d’ailleurs pas forcément surévalué par ceux qui le défendent. Le spectateur sait fort bien qu’il n’assiste pas à un chef-d’œuvre mais réclame un droit à se faire plaisir et apprécie les chanteurs ou les cinéastes qui lui procurent cette satisfaction. Kant, dans sa division des Beaux-arts, donne une place aux arts d’agrément qui embellissent le quotidien en le rendant plus agréable à l’œil. La décoration de jardins ou d’intérieur, les divers ornements comme ceux liés au vêtement constituent des avantages qu’il ne faut pas mépriser car ils participent à la civilisation et aux mœurs. Le plaisir est donc intrinsèquement lié à l’art et on comprend qu’il soit recherché par un public fatigué par les contraintes du travail et la routine journalière. B. L’ambivalence de la séduction L’artiste étant un être doué du pouvoir de plaire par ses œuvres, il devrait donc mettre son talent au service des attentes de ses contemporains et chercher à nous divertir. Chateaubriand ne fut-il pas surnommé l’Enchanteur ? Or, cette affection doit être analysée. L’enchantement reste un critère encore formel. Il ne dit rien quant à la valeur réelle de ce qui est montré. Faire plaisir risque de n’être que l’argument d’un esprit complaisant à l’égard des désirs vulgaires. Le démagogue sait flatter pour imposer sa présence et ses idées. L’artiste ne serait alors qu’un homme habile, capable de répondre à une attente en appliquant des recettes qui pourraient avoir été testées sur des échantillons de population. Ce danger menace même ceux qui commencèrent par inventer. Picasso dit en ce sens qu’imiter les autres est nécessaire mais que s’imiter soi-même est mesquin. » Un artiste novateur peut être victime de son succès en se bornant à répéter des procédés. [Transition] L’idée de divertissement possède un sens qui nous amène à approfondir notre réflexion. 2. Deux visions de l’œuvre A. L’art comme faux-semblant Dans les Pensées, Pascal donne au divertissement une signification tragique en y voyant la façon dont l’homme se détourne de la réalité de sa condition. Se divertir serait une fuite motivée par la misère de notre situation. L’homme se sait mortel et cette considération lui pèse. Dès lors, tout devient désirable pourvu que l’excitation d’une activité lui fasse oublier sa finitude. Ainsi, c’est l’ensemble des activités humaines qui devient un divertissement. Non seulement les différents jeux, mais la politique, et toutes les charges qui nous donnent un statut social. La royauté elle-même n’aurait de valeur qu’à cette condition car un roi sans divertissement est un homme plein de misères ». L’art rentre-t-il dans cette catégorie ? Pascal l’affirme tout en s’étonnant du pouvoir des représentations artistiques quelle vanité que la peinture qui s’attire l’admiration par la ressemblance des choses dont on n’admire point les originaux ! » L’art nous détourne de méditer sur notre condition en nous charmant par ses couleurs et ses formes. Ce divertissement, bien que compréhensible, est présenté comme coupable car il nous empêche d’admettre que seule la foi en Dieu nous sauverait. C’est en vain que nous nous divertissons aux spectacles de l’art. Ce plaisir passager nous contraint à le répéter sans jamais nous délivrer de notre angoisse. Cependant, ce jugement rend-il justice à la nature de l’œuvre d’art ? B. La nature singulière de l’œuvre d’art Les œuvres d’art sont des réalités particulières au sens où elles possèdent une double nature. Nous les appréhendons par notre sensibilité et elles nous procurent une satisfaction spirituelle. La vue et l’ouïe sont les principaux sens à être sollicités. Or, lorsque nous contemplons un spectacle ou écoutons une musique, nous voyons apparaître des significations comme la joie, la colère, la fierté, etc. La force de l’œuvre vient de la façon dont elle unit ces deux dimensions de manière indissoluble. La signification fait corps avec sa manifestation sensible. Si, par son origine grecque, le mot esthétique renvoie à l’idée de sensation, l’œuvre n’est pas consommable comme un produit nécessaire à nos besoins physiques, elle révèle l’essence d’un sentiment ou d’une valeur. Elle est donc liée à une forme de vérité. [Transition] Ceci nous engage à réévaluer notre approche de l’œuvre d’art. 3. Réévaluation de l’art A. Art et dévoilement Les réflexions d’André Malraux sont centrées autour du concept de métamorphose dans lequel il voit la vérité de l’œuvre d’art. Il s’étonne de la résistance que certaines réalisations opposent au passage du temps. Nous savons bien que les civilisations sont mortelles. Partout abondent les traces de ce qui fut et ne reviendra plus. Ceci ne signifie pas que le passé n’a plus de sens pour nous. La science historienne se charge d’ordonner ces témoignages selon la chronologie. Nous pouvons connaître des faits, les classer de manière intelligible mais la connaissance ne les ressuscite pas. L’époque étudiée est bel et bien révolue. C’est pourquoi, Malraux estime qu’une œuvre d’art est ce qui conserve une présence par-delà le passage des siècles. Elle ne sollicite pas seulement notre intelligence mais possède une vie énigmatique. Mona Lisa est morte mais La Joconde continue de fasciner. Puisqu’un chef-d’œuvre est ce à quoi on ne peut s’empêcher de revenir, il est plausible de parler de métamorphose pour caractériser la raison de sa vie intemporelle. Les cathédrales gothiques, par exemple, ne furent guère prisées aux xviie et xviiie siècles avant d’être redécouvertes par le siècle suivant, en les interprétant à sa manière, qui n’est plus la nôtre. L’œuvre peut susciter un nombre illimité d’interprétations et être une source d’inspiration, même si elle traverse des périodes d’oubli. Son pouvoir est fragile mais invincible. B. L’élargissement de la perception. Le goût Bergson affirme ainsi que l’artiste est un révélateur » qui fixe sur sa toile ou dans des mots des visions fugitives, des nuances de sentiments qui traversent notre esprit mais rapidement recouvertes par les exigences de la vie quotidienne. Il souligne ainsi un paradoxe c’est parce que l’artiste songe moins à utiliser sa perception qu’il perçoit un plus grand nombre de choses. » Il naît détaché », c’est-à-dire plus enclin à contempler qu’à utiliser. Cette thèse est importante car elle donne à l’art une nécessité profonde. Il est lié à la connaissance de soi, de notre vie intérieure et de notre rapport au monde. Les œuvres d’art nous permettent de mieux saisir ce que nous ressentons confusément et c’est pour cela qu’elles nous touchent. Le détachement n’est pas une façon de fuir la réalité mais un recul pour la faire apparaître. Le plaisir pris à l’œuvre est celui d’un goût que nous apprenons à affiner. Montesquieu note ainsi qu’une jeune personne qui se rend au théâtre manquera d’abord de goût car elle n’aura pas une perception suffisante de ce qu’elle voit. Il lui faudra du temps et de l’expérience pour apprécier la composition qui structure le développement de l’intrigue. Nous pouvons sans difficulté appliquer cette idée à toute forme de spectacle. Ceci est dû au fait que l’œuvre est une représentation qui suit nécessairement certaines règles même si le talent de l’artiste consiste à les moduler pour créer à chaque fois une réalité unique. [Transition] Il ressort de ceci que le goût est une capacité qui se cultive. Il s’acquiert et se perfectionne par la fréquentation des œuvres. Conclusion Ce sujet nous a amenés à considérer l’art sous deux aspects. Il est vrai que l’art, en nous détournant du monde habituel, peut être présenté comme un divertissement qui charme pour un moment. Mais cette signification reste superficielle. Une grande œuvre nous livre la vérité d’un monde, elle dévoile son essence et n’a donc rien d’une activité futile ou secondaire. L’art nous divertit au sens où il nous détourne de nos habitudes perceptives pour nous rendre plus sensible. Il cultive simultanément notre sensibilité et notre jugement. Seulement, ce soir-là, il ne fumait pas un cigare il fumait une cartouche de dynamite. Ce que Delphine et Saucisse regardèrent comme d'habitude, la petite brise, le petit fanal de voiture, c'était le grésillement de la il y eut, au fond du jardin, l'énorme éclaboussement d'or qui éclaira la nuit pendant une seconde. C'était la tête de Langlois qui prenait, enfin, les dimensions de l' a dit Un roi sans divertissement est un homme plein de misères ?Auteur Giono JeanEditeur GALLIMARDDate de parution 09/10/2002Nombre de pages 244Dimensions x x savoir +Seulement, ce soir-là, il ne fumait pas un cigare il fumait une cartouche de dynamite. Ce que Delphine et Saucisse regardèrent comme d'habitude, la petite brise, le petit fanal de voiture, c'était le grésillement de la il y eut, au fond du jardin, l'énorme éclaboussement d'or qui éclaira la nuit pendant une seconde. C'était la tête de Langlois qui prenait, enfin, les dimensions de l' a dit Un roi sans divertissement est un homme plein de misères ?Auteur Giono JeanEditeur GALLIMARDDate de parution 09/10/2002Nombre de pages 244Dimensions x x / EAN 1983cb9b-f9c4-42b5-bb2c-bf2a46b53748 / 9782070362202 CHRONIQUES.... UN ROI SANS DIVERTISSEMENT, Giono JeanIl n'y a pas encore d'avis pour ce produit. Livraison à domicileEstimée le 07/09/2022 2,99€ Pour les produits vendus par Auchan, votre commande est livrée à domicile par La Poste. Absent le jour de la livraison ? Vous recevez un email et/ou un SMS le jour de l'expédition vous permettant de confirmer la livraison le lendemain, ou de choisir une mise à disposition en bureau de poste ou Point Relais. Le divertissement est pour l’homme le moyen de se détourner — de se divertir au sens propre — de la misère de la vie, de se dissimuler la vanité de sa condition, d’ignorer l’ennui et l’inquiétude, deux termes très forts, à entendre comme une angoisse profonde. Le divertissement, c’est tout ce qui ne mène pas à Dieu, et, si Pascal insiste tant, c’est qu’il lui faut renverser l’obstacle que le divertissement dresse contre son projet d’apologie. Les hommes n’ayant pu guérir la mort, la misère, l’ignorance, ils se sont avisés, pour se rendre heureux, de n’y point penser » 166-133, énonce un fragment de la liasse Divertissement » des Pensées. Ou encore, un roi sans divertissement est un homme plein de misères » 169-137, expression dont Jean Giono fera le titre d’un de ses meilleurs romans. Le divertissement permet de s’aveugler sur notre monde, que Pascal nous dépeint comme une prison, un terrifiant cachot que nous voulons fuir. Or voici le paradoxe Quand je m’y suis mis quelquefois à considérer les diverses agitations des hommes et les périls et les peines où ils s’exposent dans la Cour, dans la guerre, d’où naissent tant de querelles, de passions, d’entreprises hardies et souvent mauvaises, etc., j’ai dit souvent que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre » 168-136. Oui, qu’il serait bon de se retirer, de s’arrêter !C’était l’idéal de la sagesse antique. Mais non, la pensée de derrière » nous rappelle qu’il n’y a rien de mieux que les vacances ou la retraite pour donner la migraine et la mélancolie. Dès que nous nous arrêtons, nous sommes confrontés à notre condition. […] quand j’ai pensé de plus près et qu’après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs j’ai voulu en découvrir la raison, j’ai trouvé qu’il y en a une bien effective et qui consiste dans le malheur naturel de notre condition faible et mortelle, et si misérable que rien ne peut nous consoler lorsque nous y pensons de près. » La suite à écouter Seulement, ce soir-là, il ne fumait pas un cigare il fumait une cartouche de dynamite. Ce que Delphine et Saucisse regardèrent comme d'habitude, la petite braise, le petit fanal de voiture, c'était le grésillement de la il y eut, au fond du jardin, l'énorme éclaboussement d'or qui éclaira la nuit pendant une seconde. C'était la tête de Langlois qui prenait, enfin, les dimensions de l' a dit Un roi sans divertissement est un homme plein de misères» ?Cela fera 50 ans cette année que Jean Giono est mort. En hommage à l’écrivain et à son œuvre, la fiction a voulu faire entendre son roman Un roi sans divertissement adapté en feuilleton radiophonique sur 10 épisodes. Par ailleurs, des lectures de quelques-unes de ses nouvelles ont été diffusées dans Samedi noir » dont Prélude de Pan et Colline le 11 janvier à croit se connaître, on ne se connaît pas … On croit se connaître, puis pas du tout, je veux dire, se connaître soi-même. De quoi totalement on est capable. Voilà ce que je veux dans une variante de Que ma joie demeure. Hiver 1843. Dans un petit village du Trièves que la neige a coupé du monde, une jeune femme disparaît. On a beau fouiller les environs dès le dégel arrivé, son corps reste introuvable. L’année suivante, alors qu’un épais manteau blanc recouvre à nouveau le village, un deuxième habitant est rayé de la surface du globe », bientôt suivi par deux autres. Qui fait disparaître ces villageois et pourquoi ? C’est ce que se demande le capitaine de gendarmerie Langlois, appelé en renfort. Des gouttes de sang sur la neige dessinent une unique piste se perdant dans le brouillard. Tandis que dans le lointain automne danse un hêtre aux feuilles rouges, que les encens consolateurs des messes de minuit montent dans la nuit désolée, Langlois s’approche du mystère, comme d’un gouffre. Une fois l’affaire criminelle résolue, ce sont ses propres ténèbres qu’il doit affronter. L’enquête policière laisse alors la place à un jeu de pistes dont Langlois est l’objet. Des indices de ses tourments intimes sont disséminés dans les témoignages allusifs, incomplets et enchâssés de ceux qui l’ont côtoyé. Jean Giono a qualifié de plus grande malédiction de l’univers » l’ennui, dans son acception pascalienne de face-à-face impitoyable avec soi-même. En a-t-il fait l’expérience lors de son séjour en prison de 1944, deux ans avant la rédaction d’Un roi sans divertissement ? Quoi qu’il en soit, c’est à la faveur d’un moment de désœuvrement qu’en 1946 il se retranche dans sa petite ferme de la Margotte pour y rédiger en un mois et dix jours ce roman labyrinthique. Une grande lumière tempère cependant la noirceur de ce texte ce sont les liens d’amitié, d’empathie qui unissent les personnages. On peut les voir à l’œuvre notamment dans les inlassables rondes organisées par le trio Saucisse / le procureur / Mme Tim afin de détourner Langlois de ses sombres tentations. Si leurs échanges peuvent sembler énigmatiques, c’est qu’ils communiquent par sous-entendus. Humanité consolatrice que celle de ces connaisseurs et autre amateurs d’âmes qui ne sont pas nés de la dernière pluie, savent aimer, compatir et - peut-être comme le lecteur rêvé de Giono - lire entre les lignes. Laure Egoroff

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