Letitre de son bouquin, pour l'instant, c'est Pas devant les caméras. Rapport à une phrase que lui aurait dite Manuel Valls, Premier ministre, deux jours après le 13 Novembre. Les deux hommes se
PatrickJardin: Père de Nathalie, assassinée au Bataclan. Auteur du livre "Pas devant les caméras!" Ed Presse de la délivrance: Charles-Edouard Bouée
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Ilest formidable le Majax de l’Intérieur, il fait pousser des policiers dans les jardins de Beauvau ! Ah, non, à chaque fois il s’agit de déshabiller Pierre pour habiller Paul, par conséquent cela ne changera rien. Pourquoi ? La sécurité marche sur deux jambes : la jambe du ministère de l’Intérieur et la jambe de la justice sauf que le sinistre #DupondMoretti est celui 'des
Pasdevant les caméras! : Jardin, Patrick: Amazon.ca: Books. Skip to main content.ca. Hello Select your address Books Hello, Sign in. Account & Lists Returns &
Répondantà la question d’un ouvrier, le chef de l’État aurait pu apporter la réponse tant attendue, s’il n’y avait pas eu de caméras présentes. Nicolas Sarkozy a failli déclarer sa
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Patrick Jardin erre entre Lille et Tourcoing au volant de sa BM. L'air paumé, un peu. Du genre de ceux qui ont oublié ce qu'ils cherchent. A Marcq-en-Barœul, où il est né, il évoque Ronchin, où sa fille est enterrée. Puis d'un coup maugrée contre les Arabes. Arrivé à un feu, il dit bienvenue au Maghreb», quand des femmes voilées traversent devant lui. Sa bagnole, un 4×4, est énorme. A l'intérieur, on se sent protégé. Le machin doit coûter un paquet. Ce qui ne devrait pas être un problème pour l'ancien patron de France Cars un loueur de véhicules il est millionnaire. Mais le jeune retraité, 66 ans, a des principes. Je l'ai achetée d'occase, parce que mettre 140 000 balles dans une voiture, c'est pas possible. J'ai pas été élevé comme ça.»Gamin, Patrick Jardin bossait avec son paternel, garagiste. Un jour, alors que les affaires tournaient bien, la petite famille est allée visiter une baraque au Touquet, station balnéaire chic du Nord. Tout le monde était emballé. Alors je me voyais déjà avec une maison là-bas, le rêve ! Mais une fois rentrés, papa a dit "Avec l'argent, je vais plutôt racheter des autos."» L'entreprise familiale a grossi comme ça, avec le temps. Patrick et son frère l'ont vendue fin 2016. Passant devant l'un des anciens garages, Jardin dit qu'ici, ça a changé. Maintenant, dans cette rue, il y a un "L'homme moderne", c'est un magasin où on vend des djellabas». Sur la route de Seclin, il explique pourquoi le vivre ensemble» l'emmerde. Je n'ai rien contre le multiethnique, mais en revanche, le multiculturalisme me dérange. Je refuse pas qu'ils [les musulmans] prient un autre dieu, mais qu'ils bloquent une rue pour se mettre à quatre pattes, c'est pas possible. Qu'ils disent "on mange pas de porc à la cantine", c'est pareil. Je supporte pas. Ça fait partie des humiliations qu'ils essayent toujours de nous faire subir.»Patrick Jardin a perdu sa fille dans l'attentat du Bataclan, le 13 novembre 2015. La jeune femme, 31 ans, était régisseuse lumière dans cette salle. Elle est morte d'un pneumothorax». Ça peut vouloir dire plein de choses. Qu'elle a eu les poumons déchirés par une balle, ou bien qu'elle aurait pu survivre. Patrick Jardin s'accroche à cette idée, accuse l'Etat de défaillances. Selon lui, les forces de l'ordre ont mis trop de temps à intervenir. Dans sa tête, sa fille aurait pu être sauvée, alors il en veut à tout le monde. Quand on demande à Patrick Jardin qui sont les assassins, il répond, d'abord, les gouvernements, ceux qui se sont succédé et qui ont laissé faire». Laissé faire quoi ? L'islamisation de la France.» Puis, il dit C'est de ma faute. Je n'ai pas su la protéger. Le jour où on a proposé à ma fille le poste, je lui ai dit de foncer, que c'était une bonne opportunité. J'aurais dû savoir que la salle était menacée depuis des années.» Et, peut-être que c'est lié à ma femme. Elle est morte d'un cancer en 2004. Ma fille, elle s'en est jamais vraiment remise. Sinon, qui sait, elle serait restée à Marcq-en-Barœul.» Patrick Jardin a aussi la haine contre les assaillants Vous avez vu ce qu'ils ont fait ? Ce sont des animaux, des raclures de chiottes. Ils ont tué des gens à bout touchant. Même à des chiens, on ferait pas ça.»L'homme porte l'étiquette de père de victime du Bataclan» et, en même temps, celle de celui qui n'a pas pardonné». Il dit Pour que je pardonne, il faudrait déjà qu'on me demande pardon.» Les médias le décrivent comme l'anti-Antoine Leiris», ce jeune veuf auteur de Vous n'aurez pas ma haine, une longue lettre adressée aux terroristes. On oppose les deux comme le vertueux et le salaud de été, Patrick Jardin s'est beaucoup donné pour empêcher la programmation au Bataclan de Médine, à cause de son album Jihad. Le rappeur a fini par annuler sa venue. Le combat de Jardin a été relayé par l'extrême droite et soutenu par des personnes aux motivations diverses. L'homme s'est affiché en compagnie de Karim Ouchikh, président du Siel, un parti souverainiste, ou avec Nicolas Dupont-Aignan. Le politicien doit d'ailleurs rappeler», depuis, pour un déjeuner. Un jour. Tout cela ne vient pas de nulle part. Patrick Jardin a depuis longtemps, avant le 13 Novembre, des copains au Front national devenu le Rassemblement national. Je fais pas de politique», père brisé dit Après les attentats, j'aurais pu débarquer dans une mosquée avec une kalachnikov et faire comme les terroristes.» Tuer des innocents ? Il répond Et alors, ma fille aussi était innocente. Je m'étais toujours dit "Si un jour quelqu'un touche à un de ses cheveux, je le tue."» Il fond en larmes. Je parle tout le temps à ma femme, c'est un monologue. Elle doit se dire, où elle est "Tu n'as rien fait, tu n'as pas réagi. Tu n'es qu'une merde."»Patrick Jardin ne peut pas quitter son rôle d'homme en colère, parce que ça le pousserait à affronter la réalité. S'il absout, il deviendra comme les autres», un proche de victime seul et triste. Ça serait abandonner ma fille», dit-il. Plus personne ne s'intéresserait à lui, surtout. Or, il a ce message, pour ne plus jamais que ça arrive». Il prépare un livre, pour l'instant brouillon. Ça parle de sa détresse de père, et mélange islamophobie et théories complotistes. Quand la vérité est trop dure à avaler, on cherche des réponses ailleurs, et Patrick Jardin écume Internet depuis trois ans pour trouver la sienne. Le titre de son bouquin, pour l'instant, c'est Pas devant les caméras. Rapport à une phrase que lui aurait dite Manuel Valls, Premier ministre, deux jours après le 13 Novembre. Les deux hommes se sont croisés gare du Nord, alors que Patrick Jardin cherchait sa fille depuis plusieurs heures, et paniquait. Il ne l'a jamais est hanté par sa dernière image, derrière une vitre à l'institut médico-légal, avec un drap remonté jusqu'au menton. Mais il refuse de se faire suivre. Il dit Pas la peine. Et puis c'est comme ça. De toute façon, ceux qui vont chez le psy, ils finissent par retomber.» Il s'arrête. C'est surtout dur le dimanche, ou alors en hiver. Quand on est seul, on gamberge. Alors je sors, je vais au cimetière. Et je rentre le plus tard possible.» Parfois, si la météo est bonne, il roule jusqu'au Touquet, où il avait gardé des habitudes. Puis descend sur la plage, respirer les embruns. Pas longtemps, car la ville le rend sombre. Dans le centre, il y a un confiseur, Le chat bleu Patrick Jardin évite de passer devant, parce que, dedans, il voit sa fille les bras chargés de novembre 1952 Naissance à juin 2004 Décès de sa novembre 2015 Décès de sa fille au 2018 Mobilisation contre la venue de Médine au Bataclan.
Ce livre est un cri de colère - le cri de colère d'un père à qui on a arraché sa contre les barbares islamistes d'abord. Mais aussi colère contre la lâcheté des politiciens qui n'ont rien fait pour s'opposer à l'islamisation de la bien-pensants s'indigneront peut-être. Mais comment juger un homme qui a subi une perte si lourde - par la faute d'autres hommes?Patrick Jardin n'a plus rien à perdre. Et un seul objectif empêcher de nouvelles tragédies où disparaîtraient d'innocentes victimes comme sa fille Nathalie.
Ce livre est un cri de colère - le cri de colère d'un père à qui on a arraché sa fille. Colère contre les barbares islamistes d'abord. Mais aussi colère contre la lâcheté des politiciens qui n'ont rien fait pour s'opposer à l'islamisation de la France. Les bien-pensants s'indigneront peut-être. Mais comment juger un homme qui a subi une perte si lourde - par la faute d'autres hommes ? Patrick Jardin n'a plus rien à perdre. Et un seul objectif empêcher de nouvelles tragédies où disparaîtraient d'innocentes victimes comme sa fille Nathalie. Patrick Jardin, entrepreneur, est le père de Nathalie, assassinée au Bataclan, le 13 novembre 2015, lors de l'attaque islamiste.
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